Mokish
20h00-00h00
[Concert]
Didier Super:
Ta vie sera
plus moche que la mienne
[Spectacle Musical]
A partir de 14 ans
Quand un spectacle est bon, il est inutile de se casser la tête pour trouver un excellent titre. D’ailleurs, ce nouveau spectacle a bien failli s’appeler ”Didier super mange du cheval” ou même tout simplement ”Didier super, nouveau spectacle”. Ce nouveau produit a été spécifiquement calibré pour sortir le consommateur de son ennui à raison d’un rire toutes les secondes environ.
Le Magnetic Ensemble, c’est avant tout une histoire de percussions. Chacun à leur manière, Antonin Leymarie, Benjamin Flament et Matthieu Desbordes aiment entrer dans le rythme comme on dit d’un tennisman qu’il rentre dans la balle. Au final, ce n’est plus un Ensemble qui s’appelle Magnetic, mais des musiciens qui deviennent magnétiques ensemble.
Un violon, des machines, des projections vidéos et de la musique électronique inspirée par des musiques de partout dans le monde. Le duo Samifati est un projet unique dirigé par un producteur-violoniste et un VJ (Video-Jockey). Des mélodies délicates, des arrangements de violon épiques, des basses puissantes et des images planantes. Sur scène Samifati est un voyage qui transporte tous les sens dans un autre univers.
Soirées du 11 au 14 juin 2020
Entrée payante
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Jeudi 11 juin / PETIT BAIN
19h00 - 00h00
Rémi Constant
[Concert]
Esthr
[Concert]
Chantant une lettre d'amour, un souvenir nocturne, une prière - Rémi Constant est bien, à sa manière, un héritier des troubadours : cherchant dans l'amour qui passe, ce qui ne passe pas. Robin Moritz, pianiste-peintre, harmonise cette parole joueuse avec précision. Tantôt d'une tempête, tantôt d'un paysage méditatif.
Ce duo complice, tournant le dos au cynisme et au désespoir modernes, donne un spectacle musical tendre.
Magnetic Ensemble
[Concert]
Esthr, artiste de 25 ans, oscille entre le rap et le chant. Voix claire, kickage fluide au féminin, ses thèmes sont engagés et personnels, ses flows rythmés et variés. Technicienne son de formation, elle mêle ses connaissances techniques et sa créativité musicale pour fabriquer dans son laboratoire des morceaux poétiques et puissants.
Ses influences voyagent entre New York et Sète: de Alicia Keys à 113, de D’Angelo à Princess Nokia en passant par Akua Naru, Bob Dylan et George Brassens.
Samifati
[Concert]
Je demande la route
Roukiata Ouedraogo
C'est la Phèdre
Collectif Les Bourlingueurs
Vendredi 14 juin / ARÈNES DE LUTÈCE
18h00 - 19h45
Leo Pol
[Live & vernissage]
Au fil des années, Leo Pol est devenu un incontournable de la scène électronique parisienne avec son live sollicité par les promoteurs du monde entier.
Du haut de ses 27 ans, Léo-Pol Poirel pratique la musique électronique depuis près d’une décennie. De rencontres en dates, de projets multiples en sorties, il porte désormais une belle collection de casquettes : patron de label, résident d'un des clubs les plus renommés de France, producteur pluridisciplinaire.
20h00 - 23h15
[Théâtre]
[Théâtre]
C’est la Phèdre ! est une fête. Mais une fête des morts comme on n’en voit qu’au Mexique. Jean Joudé voulait que la salle soit “ sous vapeur “ dans une atmosphère qui mêle la fougue et la fatigue. Elle l’est ! C’est en partie dû à ce qui est constitutif de son projet de mise en scène : faire dialoguer le texte avec la musique, deux musiciens jouent constamment sur scène, à un rythme qui ne faiblit pas.
Tous les acteurs sont proches de la transe, tous s’épaulent dans ce voyage au fond de l’horreur et de l’amour.
En collaboration avec un poète-dramaturge, la fonction du chœur a été repensée, réinventée.
Le théâtre de Sénèque est là, avec toute sa puissance, sa grandeur macabre, contemporain parce qu’éternel.
Roukiata conte avec dérision et auto-dérision son parcours, riche en péripéties, qui la mène de son école primaire en Afrique aux scènes parisiennes. Chacune de ses aventures est l’occasion d’une réflexion drôle et délicate sur les décalages culturels entre la France et l’Afrique.
Je demande la route est une traversée initiatique dans un monde de brutes. L’école n’est pas douce en Afrique pour les écoliers. L’arrivée en France est dure pour une migrante désargentée. Le parcours professionnel est compliqué pour une jeune africaine non diplômée. Mais c’est en surmontant ces épreuves que la jeune fille devient une femme maîtresse de son destin. Roukiata fait, avec Je demande la route, un retour sur elle-même et souhaite offrir une belle histoire, grave et légère, à laquelle chacun peut s’identifier.
Samedi 15 juin / ARÈNES DE LUTÈCE
20h00 - 23h00
Tall Man
Surnatural Orchestra
Surnatural Orchestra &
Denis Charolles Octet
[Concert]
Depuis dix-huit ans, le collectif d’aujourd’hui dix-huit musiciens (et ses nombreux acolytes!) défriche une zone de liberté musicale, entre musiques à danser et pièces expérimentales. Assoiffés d’invention, ils remodèlent également la forme du concert.
Tout se raconte par la musique. Elle a des accents de jazz contemporain, de world et de fanfare, s’inspire de sonorités d’Afrique de l’Ouest et se teinte d’improvisations baroques.
[Concert]
Monk et Ellington, deux pianistes, deux grands compositeurs : Ellington, alias the Duke, l’élégance faite swing et mélodie, la luxuriance du Big Band... Thelonious Sphere Monk, l’originalité absolue, l’âpreté faite poésie...
Denis Charolles nous invite à une fête, un pas de danse, une course poursuite funambulesque au milieu des joyaux de cette musique.
Dimanche 16 juin / ARÈNES DE LUTÈCE
17h30 - 20h30
Al Atlal
Norah Krief
[Théâtre musical]
Il y a ces foules d’Orient qui chavirent en écoutant une des plus belles chansons d’amour de la poésie arabe magnifiée par une ”voix incomparable”. Il y a, bien loin du Caire ou de Tunis, en banlieue parisienne, une femme qui écoute ce chant à plein volume. Dans le jardin, une enfant entend ce chant étranger et tout en elle rejette cette langue qui l’agresse. Le poème, c’est Al Atlal (les ruines) d’Ibrahim Nagi, qui évoque les vestiges d’un amour et le rêve d’un pays perdu. La voix c’est celle d’Oum Kalsoum, ”L’Astre d’Orient”. Cette femme qui l’écoute en se remémorant le pays perdu est la mère de l’enfant. L’enfant est Norah Krief.
Joseph Chedid
[Concert]
Joseph Chedid s’est donné le temps de devenir lui-même. Il écrit, compose, chante, joue de multiples instruments et peint des toiles qui deviennent parfois les visuels de ses disques. Il ne se soustrait à aucune étape allant de la production à la distribution de sa musique. Il laisse de l’air à ses chansons pour qu’elles respirent, prennent vie, s’envolent… et nous touchent.
Il jouera pour Nuits des Arènes des chansons de son nouvel album qui paraitra quelques jours plus tard et sera accompagné par une exposition allant de pair avec cet album.
Dimanche 16 juin / ARÈNES DE LUTÈCE
17h30 - 20h30
Al Atlal
Norah Krief
[Théâtre musical]
Il y a ces foules d’Orient qui chavirent en écoutant une des plus belles chansons d’amour de la poésie arabe magnifiée par une ”voix incomparable”. Il y a, bien loin du Caire ou de Tunis, en banlieue parisienne, une femme qui écoute ce chant à plein volume. Dans le jardin, une enfant entend ce chant étranger et tout en elle rejette cette langue qui l’agresse. Le poème, c’est Al Atlal (les ruines) d’Ibrahim Nagi, qui évoque les vestiges d’un amour et le rêve d’un pays perdu. La voix c’est celle d’Oum Kalsoum, ”L’Astre d’Orient”. Cette femme qui l’écoute en se remémorant le pays perdu est la mère de l’enfant. L’enfant est Norah Krief.
Joseph Chedid
[Concert]
Joseph Chedid s’est donné le temps de devenir lui-même. Il écrit, compose, chante, joue de multiples instruments et peint des toiles qui deviennent parfois les visuels de ses disques. Il ne se soustrait à aucune étape allant de la production à la distribution de sa musique. Il laisse de l’air à ses chansons pour qu’elles respirent, prennent vie, s’envolent… et nous touchent.
Il jouera pour Nuits des Arènes des chansons de son nouvel album qui paraitra quelques jours plus tard et sera accompagné par une exposition allant de pair avec cet album.
Dimanche 16 juin / ARÈNES DE LUTÈCE
17h30 - 20h30
Al Atlal
Norah Krief
[Théâtre musical]
Il y a ces foules d’Orient qui chavirent en écoutant une des plus belles chansons d’amour de la poésie arabe magnifiée par une ”voix incomparable”. Il y a, bien loin du Caire ou de Tunis, en banlieue parisienne, une femme qui écoute ce chant à plein volume. Dans le jardin, une enfant entend ce chant étranger et tout en elle rejette cette langue qui l’agresse. Le poème, c’est Al Atlal (les ruines) d’Ibrahim Nagi, qui évoque les vestiges d’un amour et le rêve d’un pays perdu. La voix c’est celle d’Oum Kalsoum, ”L’Astre d’Orient”. Cette femme qui l’écoute en se remémorant le pays perdu est la mère de l’enfant. L’enfant est Norah Krief.
Joseph Chedid
[Concert]
Joseph Chedid s’est donné le temps de devenir lui-même. Il écrit, compose, chante, joue de multiples instruments et peint des toiles qui deviennent parfois les visuels de ses disques. Il ne se soustrait à aucune étape allant de la production à la distribution de sa musique. Il laisse de l’air à ses chansons pour qu’elles respirent, prennent vie, s’envolent… et nous touchent.
Il jouera pour Nuits des Arènes des chansons de son nouvel album qui paraitra quelques jours plus tard et sera accompagné par une exposition allant de pair avec cet album.
Dimanche 16 juin / ARÈNES DE LUTÈCE
17h30 - 20h30
Al Atlal
Norah Krief
[Théâtre musical]
Il y a ces foules d’Orient qui chavirent en écoutant une des plus belles chansons d’amour de la poésie arabe magnifiée par une ”voix incomparable”. Il y a, bien loin du Caire ou de Tunis, en banlieue parisienne, une femme qui écoute ce chant à plein volume. Dans le jardin, une enfant entend ce chant étranger et tout en elle rejette cette langue qui l’agresse. Le poème, c’est Al Atlal (les ruines) d’Ibrahim Nagi, qui évoque les vestiges d’un amour et le rêve d’un pays perdu. La voix c’est celle d’Oum Kalsoum, ”L’Astre d’Orient”. Cette femme qui l’écoute en se remémorant le pays perdu est la mère de l’enfant. L’enfant est Norah Krief.
Joseph Chedid
[Concert]
Joseph Chedid s’est donné le temps de devenir lui-même. Il écrit, compose, chante, joue de multiples instruments et peint des toiles qui deviennent parfois les visuels de ses disques. Il ne se soustrait à aucune étape allant de la production à la distribution de sa musique. Il laisse de l’air à ses chansons pour qu’elles respirent, prennent vie, s’envolent… et nous touchent.
Il jouera pour Nuits des Arènes des chansons de son nouvel album qui paraitra quelques jours plus tard et sera accompagné par une exposition allant de pair avec cet album.