Spectacles

Concerts

Samedi 3 septembre, Arènes de Lutèce, 17h30 : Jazz Manouche (90’)

Quartet réuni autour de Rémi Crambes (violon) avec Moira Montier Dauriac (Contrebasse), Elisabeth Keledjian (batterie), Emile Mélenchon (guitare) (1h30)

SAMEDI 3 SEPTEMBRE, ARÈNES DE LUTÈCE, 22h30 : DJ SET de Missy Ness (90’)

« Première femme DJ en Tunisie, elle y est reconnue comme un pilier de la scène underground. De Paris à Tunis, elle défend les cultures urbaines sans jamais dissocier son art de son engagement pour la liberté et la justice sociale.»

Dimanche 4 septembre, Péniche Le Petit Bain, 20h : RC x ING (60’)

« Issu de deux collectifs, RC x ING est un groupe dont le style musical, l’afro-trap, peut être défini comme une musique aux sonorités africaines mélangée à de la Trap (courant issu du rap). Groupe en émergence, il a déjà reçu l’attention des médias, notamment dans l’émission « Tracks » d’Arte et sur « Clique » de Mouloud Achour ».

DIMANCHE 4 SEPTEMBRE, PÉNICHE LE PETIT BAIN, 21h : DJ SET de DJ U-man (60’)

« Pour un atterrissage en douceur mais néanmoins festif, une proposition de sélections années 80 underground avec des glissements sur des terrains actuels sous influence. Rock, Électro, mais pas que… Intervenant notamment dans le collectif « Les Dilettantes » pour les soirées Pretext avec des ancrages dans divers lieux, du Batofar en passant par la péniche Nix Nox, le Nouveau Casino et le regretté PULP. »

Danse


Vendredi 2 septembre, Arènes de Lutèce, 20h30 : Hors Champs (60’)

de Lydia Boukhirane, avec May Bouhada, Lydia Boukhirane, Céline Gayon et Erwan Quintin.

Trois interprètes mesurent, à travers des témoignages intellectuels et sensibles, notre propension à faire exister en nous de nouveaux espaces, à secouer les frontières entre nos mots et nos gestes, comme une revisite de ce qui nous habite, une façon d’étirer nos enchaînements quotidiens.

Cette performance radiophonique dansée est inspirée par l’ouvrage d’Italo Calvino « Les Villes Invisibles », roman qui explore l’imaginaire à travers les descriptions de cinquante-cinq villes que Marco Polo fait au grand empereur Kublai Khan.

Vendredi 2 septembre, arenes de lutece, 21h45 : Debout – Se relever (35’)

De Christina Towle et Djino Alolo Sabin, avec Djino Alolo Sabin, Jean-Paul Mehansio et Yves Mwamba.

Musique : Dario Rudy ; Création Lumière : Flore Dupont ; Accompagnement du projet : Marie- Zélie ; Production & Diffusion : Camille Chenal & Christina Towle ; Co-Production : Bourse de l’écriture de l’association Beaumarchais-SACD, Résidence Pamoja - un programme des Etats ACP financé par l’Union européenne et mis en œuvre par les Studios Kabako, Accueil Studio au CCN de Roubaix/Ballet du Nord ; Soutiens : Prêt de Studio au CND, Accompagnement du projet de Danse Dense, Résidence au Point Ephémère

Debout - Se relever est un travail qui croise la danse contemporaine, la boxe et la musique live sur scène (batterie). Le spectacle revisite un moment mythique dans l’histoire du sport et du continent africain mais aussi le destin d’un individu hors du commun : Mohammed Ali, et son match mythique le « Rumble in the Jungle» qui a eu lieu au Congo Kinshasa en 1974.

Meilleur boxeur de tout le temps, Mohammed Ali accomplit le geste héroïque de rester debout contre Georges Foreman, considéré comme imbattable. Se revendiquant lui-même comme danseur, Ali, par sa gestuelle inspirée, fait de ce match un véritable spectacle chorégraphique.

Inspiré par la force mentale et physique d’Ali, Debout - Se Relever met en scène trois interprètes congolais qui cherchent des stratégies physiques ensemble pour faire face aux forces qui les opposent.

Dans le contexte actuel, en France, au Congo, et ailleurs, on se bat pour la démocratie - à l’instar d’Ali qui utilisait la boxe comme une arme contre l’oppression, nous utilisons l’art comme une arme pour dénoncer l’injustice politique.

Théâtre

Samedi 3 septembre, ARENES DE LUTECE, 19h10 : Carte blanche au TAC (50’)

Restitution d’un laboratoire sur le thème du festival, « L’art et la culture, un bien commun ? » imaginé par les comédiens du TAC (Training Autogéré du Comédien). Avec Mathilde Aurenty, Brune Bleicher, Yohann-Hicham Boutahar, Marie Camlong,
Julien Crépin,
Maialen Eyherabide et Romain Pichard.

SAMEDI 3 SEPTEMBRE, ARENES DE LUTECE, 21h00 : Retour à Reims de et avec Laurent Hatat et Sylvie Debrun (60’).

D’après l’essai de Didier Eribon publié aux Editions Fayard - Adaptation et mise en scène : Laurent Hatat - Avec Sylvie Debrun et Laurent Hatat - Conseil dramaturgique : Laurent Caillon - Création lumière : Anna Sauvage - Création son : Antoine Reibre - Régie générale, lumière et son : Cédric Marie - Production : anima motrix - Soutiens : Avec le soutien de la Maison des Métallos, de la Région Nord Pas-de-Calais et de la DRAC Nord Pas-de-Calais / Ministère de la Culture et de la Communication.

A la mort de son père, l’auteur retourne à Reims et retrouve son milieu d’origine, le monde ouvrier, avec lequel il a rompu depuis plus de trente ans.

Avec des mots précis, il nous narre son enfance et les conditions de son ascension sociale, il mêle à chaque étape de ce récit intime les éléments d’une réflexion sur les classes, la fascination des identités, la sexualité, la politique.

Dimanche 4 septembre, Péniche Petit Bain, 17h00 : Dérive - Solo de et avec Aline César (60’).

Texte et mise en espace : Aline César - Avec le regard complice : Anna Sigalevitch et Mohand Azzoug - Musiques originales : Grégoire Hetzel, Yoann Le Dantec, Dramane Dembele, Yan Péchin - Production : Compagnie Asphalte - Soutiens : Anis Gras – le lieu de l’autre - La Cie Asphalte est conventionnée par la Région Ile-de-France.

Sur ce chemin de crépuscule, le public est invité à partager un moment intime fait de mots et de musique. Ce solo dérive dans la ville, sur les routes. La ville, territoire des rêveries modernes de promeneurs peu solitaires. La ville comme lieu du politique, de la révolte qui bat le pavé, la ville de Spartacus un peu perdu dans Paris. Un paysage citadin qui laisse place peu à peu à des divagations noctambules, des routes à pic, des voies transatlantiques. Au cours de cette traversée, il est question d’amour, de désir, de nuit, de voyage rêvé vers la terre des origines.